Vous souvenez-vous de votre tout premier voyage… voyage que spontanément, vous associez alors à moyen ou long cours, n’est-ce pas ?Auriez-vous, il y a seulement dix ans, imaginé vous dépayser à moins de cent kilomètres de chez vous ?
Et puis, la pandémie nous a mis à l’arrêt, nous poussant à nous réinventer, à réinviter la vie, le dépaysement et l’émerveillement au plus près. Quelles expériences cette période vous a-t-elle procurées… en jetant un œil bienveillant pardessus votre épaule ?
Et si le voyage était un regard, une ouverture, une posture ?
Un jour, je me souviens… c’était en 2008, un coucher de soleil avait transmuté soudainement la surface liquide d’eau douce provenant d’un affluent de l’Alagnon en un lac de sang. Rouge était l’atmosphère, rouge sépia, conférant à cette forêt environnant le lac du Pêcher une âme atemporelle. C’est en creux de cet instant poétique qu’a repris vie une bâtisse tricentenaire, postée seule au monde sur une rive de ce lac de montagne. Un lodge… « j’avais un lodge en Auvergne, au pied du Puy Mary ».
Une lumière, un regard, et ce lieu épousait soudainement les contours de l’histoire : celle d’hier, aux allures d’épopée, de grande fresque romanesque qui convoque l’esprit Safari, et celle de demain, d’un lieu en prise directe avec son territoire, ses artisans, ses acteurs économiques, son environnement, que nous nous ferions une mission de faire vivre. Parce que cette maison templière en pierre de lave nous incitait spontanément et naturellement au voyage, à l’évasion, au cœur de ce vertige horizontal que provoquent les hautes terres cantaliennes, « instants d’Absolu » Ecolodge & Spa devait s’imposer comme une évidence.
Et si le Voyage était avant toute chose un regard, une ouverture, une posture en somme ? C’est ainsi que du printemps et des joies de (re)découvrir les plantes comestibles sauvages lors d’un déjeuner improvisé en forêt avec Sophie, guide nature expressive, à l’été indien, qui invite à écouter le brâme du cerf pour nous reconnecter à la vie, dans toute sa puissance, en la sobre présence de Serge, autre guide local, nous nous faisons fort d’embarquer nos hôtes à la rencontre
de ces hautes terres cantaliennes.
Convaincus que l’écologie n’aura voix au chapitre que dès lors qu’on aura prêté écoute à notre écologie intérieure, toute notre offre de séjour n’invite en définitive qu’à reconnecter à la nature, et par effet miroir, à notre propre nature humaine, silencieuse, spacieuse, riante, bienveillante.
Pour cela, nul besoin d’aller bien loin et s’il est permis de s’émerveiller de la relation naturelle des Indiens d’Amazonie aux plantes endémiques de leurs forêts, ne peut-on reconsidérer au gré de nos balades, celles aux mille vertus de nos propres contrées que sont le millepertuis, plante propice à la tranquillité d’esprit, ou encore l’achillée millefeuilles à même de soulager les troubles digestifs ? Voilà pour n’en citer que deux parmi tant d’autres qui ponctuent et poétisent ces hautes terres.
Et si cet été, vous partiez par les petites routes buissonnières et les chemins noirs qui traversent l’Auvergne… en un voyage finalement intérieur, au plus proche de soi ?
Au-delà des destinations dites de moyen ou long courrier, il est des destinations courues, des destinations saturées de monde sous prétexte qu’il faut y être allé, avoir coché les cases J’AI VU, J’AI FAIT. Peut-être plus encore depuis la pandémie. Ce sont des destinations qui bien souvent satisfont une envie de randonnée ou de plage.
Et puis, il y a de ces lieux de bout du monde qui vous renversent lorsque vous les découvrez. Hors des sentiers battus, des (non)destinations qui touchent l’âme et vous révèlent à votre essence d’être profondément humain. L’Auvergne est de celles-ci, territoire davantage à VIVRE qu’à VOIR ou à FAIRE. Sauf à vouloir y entrer de pleins pieds dans une autre approche et à adopter le FAIRE RIEN. Loin du bruit du monde, loin de cette époque qui nous écarte de nos fondamentaux.
Et parce que la forêt de la Pinatelle et le Lac du Pêcher épousent les contours d’un territoire d’une poésie absolue, emblématique de cette beauté naturelle et sauvage de la terre d’Auvergne, de cette « sauvagitude » devenue essentielle à la survie de l’homme ; nous sommes heureux d’y faire vivre un lieu hors du temps, de bien vivre, où retrouver l’éternité de l’instant, du temps pour soi. Un lieu où l’espace, les grands espaces se déploient comme une richesse ultime. Un
lieu pour ETRE NATURELLEMENT BIEN et faire émerger le meilleur de soi-même, en reconsidérant potentiellement notre rapport au monde autant que notre vie quotidienne.
Et si précisément cet été, vous partiez moins loin, mais peut-être pas moins bien ?
Et si vous faisiez de ces prochaines vacances un temps béni pour redécouvrir « l’ancienne alliance » qui unissait l’homme à la nature. Côté Cantal, en toute exclusivité ! Pour tout séjour en voisin, dans une approche de Staycation, qui inscrit ce sentiment d’évasion à deux pas de la maison, sans nul besoin de partir loin pour pouvoir s’évader de son quotidien… en connexion profonde avec le Slow travel, pour vous ouvrir les horizons de la Slow life (2 nuits. min.), nous vous faisons profiter d’une offre privilège, en réservant en ligne sur
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