Métro, boulot, vibro : et si les mecs se mettaient (vraiment) aux sextoys ?

Parlons peu, parlons bien (et parlons plaisir au masculin) : il est grand temps de remettre les « pendules à vibrations ». Messieurs, vous avez le droit – que dis-je, le devoir sacré – de vous offrir un petit coup de pouce technologique entre deux réunions Zoom et une pasta pesto solo. Les sextoys ne sont plus réservés aux tiroirs secrets de ces dames. Non. Désormais, ils squattent aussi vos étagères, vos applis Bluetooth et vos moments « moi avec moi-même ». Et bonne nouvelle : Scarlette a testé pour vous ce qui se fait de mieux, témoignages sans filtre à l’appui. Ils vous disent tout, et nous, on prend des notes pour nos idées cadeaux.

Top 5 des (très bonnes) raisons de se masturber

On reprend les bases. La masturbation est naturelle, on ne vous apprend rien. Ce qu’on peut vous promettre par contre ce sont ces 5 bonnes raisons de le faire.

1. Parce que c’est fun. Un bon moment en solo, c’est comme une raclette en plein été : surprenant, chaud, coulant de bonheur.
2. Parce que c’est du self-care. Hydratation, crème anti-cernes, sextoy. La Trinité sacrée de l’homme moderne. Pas de quoi rougir, bien au contraire.
3. Parce que ça muscle. Oui Monsieur. Certains joujoux (coucou le LELO F2s) entraînent le plancher pelvien. En clair : ça bosse les muscles là où ça compte.
4. Parce que c’est un voyage intérieur (et un peu extérieur aussi). L’orgasme prostatique ? Christophe le décrit comme «océanique», Sylvain comme «abyssal». Autant dire qu’on est sur du gros niveau sensoriel. Préparez les palmes.
5. Parce qu’on n’a pas besoin d’attendre que Netflix charge un épisode pour se faire du bien. Et ça, c’est un luxe.

"J’ai testé, j’ai vibré, j’ai pas pleuré" X3

Témoignages sans filtre de nos «Scarlette» testeurs. Ils connaissaient le concept, aujourd’hui ils ont adopté le concept !

Christophe, 44 ans, cadre à Saint-Flour (15) est désormais très détendu :

J’ai testé Ben (c’est quoi le délire de donner des noms de mecs à nos jouets sexuels ?). Quand je l’ai reçu, j’ai eu un doute. Objet déco tendance ou sextoy d’élite ? Spoiler : c’est bien un masturbateur, et pas des moindres ! Avec ses 16 cm de profondeur et sa gaine en silicone triple densité, il assure un confort optimal… Et des sensations bien au-delà du basique va-et-vient.

La vraie pépite, c’est son réglage de succion. Un petit tour de molette, et on passe d’une douce caresse à une étreinte plus intense. Le truc sympa, c’est que tu peux aussi presser la gaine pour adapter la pression à ta guise. En gros, c’est toi le chef d’orchestre.

Niveau entretien, c’est aussi simple qu’un shaker : un peu d’eau, un nettoyant adapté, on ferme, on secoue et hop, c’est propre. Résultat : Ben est toujours prêt pour un second round (ou un troisième…). Bref, un bon investissement pour ceux qui aiment le contrôle… Et le confort. »

Le masturbateur, Ben, triple intensité

Sylvain, 33 ans, développeur à Brioude (43) et explorateur sensoriel :

«  Pour ma part, j’ai essayé la Gaine de masturbation Hector. Alors, j’ai testé Hector… Et Hector m’a testé en retour. Clairement, ce n’est pas juste un gadget, c’est une expérience, une grosse expérience… de par son poids d’abord mais au-delà de ça…avec ses 20 cm de long, il te prend en charge du début à la fin, et ça change tout.

La vraie claque ? C’est la succion réglable. Tu contrôles la pression grâce à une petite valve, et honnêtement, c’est bluffant. Pas besoin de moteur ou de batterie, c’est toi qui ajustes l’intensité. Résultat : une sensation très proche d’une fellation bien maîtrisée. Moi qui pensais avoir tout vu, j’ai pris une sacrée leçon. Pour un sextoy manuel, c’est ultra-efficace, et niveau sensations, c’est un grand oui. Mention spéciale au mode gorge profonde, qui porte bien son nom… »

Gaine de masturbation Hector de chez Passage du désir

Alexandre, 37 ans, Clermont-Ferrand (63), curieux enthousiaste et testeur officiel :

« Je n’étais pas trop sextoy au départ. Pour moi, c’était surtout pour les femmes. Et puis je suis tombé sur une pub du Lelo F2s. J’ai hésité… Et j’ai craqué. Déjà, faut dire ce qui est : il est beau. Rouge, design stylé, pas un engin bizarre que tu caches dans une boîte à chaussures. J’ai même eu envie de le laisser sur ma table de nuit (bon, finalement non, j’ai des neveux). Côté sensations, ce n’est clairement pas une imitation de vagin, et heureusement. C’est autre chose. L’intérieur en silicone, les nervures, la douceur… J’ai l’impression que mon sexe est accueilli comme une star de cinéma.

Le mode connecté, c’est la cerise sur le gâteau : je pilote tout avec mon téléphone. Tu choisis les modes, les intensités, tu peux même passer en mode AI, genre le truc te devine. Et y’a ce mode « training » pour muscler ton périnée… Le sextoy qui te fait jouir ET te rend plus endurant ? On est sur du bonus+++.

Ma première fois ? Longue. Pas par ennui, par… trop de possibilités. Mais la deuxième fois, j’ai atteint un orgasme de compète. Et en duo avec ma partenaire, c’était carrément ludique. Elle m’a dit : ‘Je te reconnais plus, t’es concentré et détendu à la fois’ . Et pour ceux qui se posent la vraie question : oui, c’est mieux que la main. Et oui, je le recommande à mes potes. Même les sceptiques. Ils me remercieront après ».

Lelo, le masturbateur connecté (et en plus il n'a pas un nom de mec, lui)

Mais est-ce que c’est pas chelou pour un mec d’avoir un sextoy ?

Non. C’est so 2025 ! T’as une appli pour ton frigo, tu peux bien en avoir une pour ton chibre. 
Et 81% des hommes disent qu’ils l’utiliseraient si leur partenaire leur offrait. (Alors faites passer le lien du Lelo F2s, subtilement.)
D’ailleurs, utiliser un sextoy n’est ni une trahison, ni un aveu de faiblesse. C’est juste du plaisir 2.0. Et parfois, un petit complément sensuel qui pimente les galipettes à deux. Les jouets ne remplacent pas l’amour, ils l’accompagnent, un peu comme un bon vin rouge avec un plateau de fromages : ça marche parfaitement tout seul, mais ensemble, c’est la fête.

Le nettoyage (parce que c’est important) si on veut éviter la fleur au fusil

On ne plaisante pas avec l’hygiène. Un sextoy bien propre est un sextoy heureux. Eau tiède, savon doux, séchage à l’ombre. Et pour les modèles à gaine amovible, on démonte, on frotte, on bichonne, on fait tout bien comme c’est écrit dans la notice, sans transiger.

La morale de cette histoire?

Se masturber avec un sextoy ne vous transforme pas en ermite du plaisir ou en cyborg du sexe. Ça vous rend juste… humain, curieux, et potentiellement meilleur amant. Vous apprenez à mieux connaître vos zones de kiff, vous diversifiez les plaisirs, vous dédramatisez la performance. Et ça, franchement, c’est sexy.
Et si quelqu’un vous juge ? Dites-lui juste : « Ce n’est pas moi, c’est la faute de Lelo».

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